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Les entreprises belges progressent en intelligence artificielle, mais rencontrent des obstacles pour passer à l’échelle

Malgré des premiers résultats encourageants, plusieurs freins empêchent l’IA de s’imposer à grande échelle en Belgique

D’après le rapport Readiness de Kyndryl, on remarque que les sociétés belges commencent à récolter les premiers fruits de leurs investissements en intelligence artificielle. On sent un engouement certain, car de plus en plus d’entreprises osent expérimenter des projets IA, principalement pour gagner en efficacité ou mieux cibler leur clientèle. Pourtant, il est rare que ces initiatives dépassent le stade du pilote ou du test, ce qui limite leur impact réel au niveau du business.

Une des grandes difficultés évoquées est la forte pression pour démontrer le retour sur investissement, intensifiée par la situation économique actuelle. Près de deux entreprises sur trois estiment qu’il est devenu nettement plus difficile de justifier le coût des projets IA qu’il y a quelques années. Certaines équipes rencontrent aussi des blocages lors du passage de la phase de test à une intégration plus large, freinant l’innovation interne. Ce contexte oblige les dirigeants belges à repenser leur manière d’aborder les nouvelles technologies.

Par ailleurs, l’impact de l’intelligence artificielle sur l’emploi reste une source de préoccupation dans notre pays. Que ce soit pour ce qui est de la formation, du manque de nouvelles compétences sur le marché belge ou encore de la mobilité interne, la transition s’annonce chahutée. À cela s’ajoutent des soucis croissants autour de la cybersécurité et du stockage des données sur le cloud, qui obligent nombre d’organisations à revoir leurs outils ou à chercher de nouveaux partenaires capables de les accompagner dans cette mutation.

Claire

Quelqu’un qui aime voyager

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